Ce n’est pas pour vous rendre la peau plus douce mais simplement pour que ces compagnies gagnent plus d’argent ! Bien qu’il existe des alternatives aux matières animales (par exemple : l’allantoïne, le collagène ou la glycérine ont leur équivalent végétal), elles préfèrent travailler directement avec les industries agroalimentaires et particulièrement avec celle de la VIANDE, responsable de beaucoup de déchets.
Selon les estimations, nous consommons directement dans notre alimentation que 68 % d’un poulet, 62 % d’un porc, 54 % d’un bovin et 52 % d’un mouton ou d’une chèvre. Par conséquent, chaque année, plus de 10 millions de tonnes de viande non directement destinées à la consommation humaine sont générées dans l’UE.
Certaines multinationales de l’agroalimentaire ont aussi des marques dans la cosmétique et la pharmaceutique. Par exemple, les déchets comme la gélatine que l’on trouve en cosmétique servent autant le secteur pharmaceutique (capsules dures ou molles...) et alimentaire (bonbons...). Rien ne se perd, tout se transforme en matières premières à moindre coût, pour ces compagnies.